La CGE-CGC était bien présente et en nombre dans les cortèges de manifestants les 18 septembre et 2 octobre. Faute de réponse satisfaisante du Premier ministre aux revendications de l’intersyndicale, François Hommeril a fustigé l’immobilisme gouvernemental.
La CGE-CGC était bien présente et en nombre dans les cortèges de manifestants les 18 septembre et 2 octobre. Faute de réponse satisfaisante du Premier ministre aux revendications de l’intersyndicale, François Hommeril a fustigé l’immobilisme gouvernemental.
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